Depuis l’origine, chez Cotélac l’artisanat est omniprésent. Les dessins, les formes, les tricotages, les encrages, les fameux plissés emblématiques, sont confiés aux ateliers maison.
Ancrée à Ambérieu-en-Bugey où l’on y trouve l’atelier de confection, le stock de tissus avec un mini centre de lavage pour déterminer leur degré de résistance, l’atelier fait office de laboratoire expérimental pour tous les modèles.
Comprendre Cotélac, c’est pénétrer au cœur de ses méthodes de création si particulières mises en œuvre depuis 1993. Raphaëlle Cavalli sait tout des possibilités infinies d’une étoffe, mais elle reste une artiste.
« Je laisse aller la main et je regarde le résultat. Dessiner est une écriture automatique », explique-t-elle devant cette esquisse détaillée, prête à devenir une délicieuse robe à fleurs. « Les motifs sont toujours petits chez Cotélac. Ils twistent bien et ne sont jamais envahissants ».
Explorer pour créer des effets exclusifs et des surprises, c’est l’autre crédo de la maison. Raphaëlle Cavalli, sous sa casquette de designer textile, pousse inlassablement sa recherche : matchs savants entre les tissus, teintures créatives, harmonies inédites, enductions spécifiques, vêtement deux-en-un.
Aujourd’hui, sur son site d’Ambérieu-en-Bugey, Cotélac se donne les moyens techniques et humains d’une production française innovante.
Poussant inlassablement la recherche : match savant des tissus, teintures créatives, enductions spécifiques… Cotélac récupère et sauve quatre plisseuses anciennes et uniques en leur genre. Ces machines peuvent transformer les étoffes en soleil, petits plis serrés, fins, arrondis ou micros bouillonnés conservant éternellement la mémoire de forme. Remises en état, on leur découvre encore de nouvelles possibilités. Les jeux de plis seront sans cesse réinventés, enrichis et mis en valeur par le travail de surimpression des imprimés exclusifs Cotélac.